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du code et du numérique
3WA École de code et du numérique

La 3W Academy reçoit 4 alumni développeuses web

Les offres à pourvoir dans le secteur du digital n’ont jamais été aussi importantes. Et pourtant, la part des femmes dans les métiers du numérique reste bien inférieure par rapport à celle des hommes. Découvrez le témoignage de nos 4 alumni développeuses web diplômées de la 3W Academy : une école ouverte à tous et à toutes.

Témoignages de Aurélie, Camille, Helvira et Julie, développeuses web et anciennes élèves de la 3W Academy

Quel est votre parcours et quelle formation avez-vous suivi à la 3W Academy ?

Aurélie Wagner, développeuse web chez Mobibam, diplômée de la 3W Academy : 

Bonsoir, moi c’est Aurélie, j’ai 24 ans. Je me suis réorientée dans le développement web il y a 2 ans. Avant ça, j’étais dans la nutrition et la diététique. J’ai fait 3 ans d’étude dans ce domaine, mais quand j’ai essayé de trouver du travail, c’était assez bouché. Les missions n’étaient pas vraiment passionnantes, je ne me suis pas retrouvée là-dedans, ça ne correspondait plus à mes objectifs de vie. J’ai donc cherché à me réorienter et c’est vraiment par hasard que j’ai découvert le développement. Je n’avais aucun à priori sur ce métier. Je suis tombée sur les portes ouvertes en ligne de l’école 3W Academy. J’ai donc suivi cette conférence et j’ai fait ce que l’on appelle le “mois zéro” : une remise à niveau totalement gratuite et en ligne. C’est comme ça que j’ai appris les rudiments du code et que j’ai commencé à accrocher, alors que je n’étais pas spécialement destinée à l’informatique. À la 3W Academy, on apprend l’informatique d’une façon différente, on se prête au jeu et ça devient vraiment quelque chose de prenant et de passionnant. Suite à cela, j’ai donc intégré la 3W Academy : j’ai fait la formation 400h en 3 mois puis j’ai fait une alternance chez BETC. Aujourd’hui, je suis en CDI en tant que développeuse web full-stack.

Camille Desoubrie, développeuse web chez Consult My App, diplômée de la 3W Academy : 

Bonsoir à tous, moi c’est un peu pareil qu’Aurélie. Avant, j’étais dans les ressources humaines. J’ai travaillé 2 ans dans le domaine du recrutement, mais ça ne me plaisait pas et je n’arrivais pas à trouver un autre poste, car c’était assez bouché. Un ami, expert développeur Angular, m’a parlé du code et des nombreuses opportunités qu’il y avait dans le domaine du développement web. J’ai commencé à apprendre Java Script, mais je me suis rendu compte que je n’allais pas aller très loin toute seule. Alors j’ai cherché des cours du soir sur internet et je suis tombée sur la 3W Academy. Je me suis inscrite rapidement. J’ai fait le bootcamp développement web, donc la formation en 400h, et après je suis partie sur une alternance. J’ai eu mon diplôme en juillet et là je travaille en CDI, à Londres, en tant que développeur front-end.

Helvira Goma, développeuse web chez Oxalys, diplômée de la 3W Academy : 

Bonsoir tout le monde, mon histoire vous rappellera un peu celle d’Aurélie et de Camille, car je n’étais pas destinée au métier de développeuse informatique. À la base, j’ai un parcours purement scientifique. J’ai un master en biologie en pathologie humaine avec une spécialisation en sécurité sanitaire des aliments. Le hasard a fait que j’ai été embauchée en tant qu'office manager chez Médecins Direct, une plateforme de téléconsultation. C’est grâce à cette expérience que j’ai pu découvrir le métier de développeur puisque j’étais toujours en contact avec des développeurs pour échanger sur différentes problématiques. J’ai donc commencé à m’intéresser au code et au développement informatique. De fil en aiguille, j’ai fini par me prendre au jeu et à vouloir me reconvertir une année plus tard. J’ai décidé d’intégrer la 3W Academy au format bootcamp, car je souhaitais une formation intensive et avoir le bagage nécessaire pour être opérationnelle rapidement. Suite à cela, s’en sont suivis 2 CDD et un CDI. Entre-temps, j’ai également rejoint l’équipe des DesCodeuses en tant que mentor et formatrice. Il s’agit d’une association qui aide les femmes à s’intégrer dans le développement web. Et une fois par mois, j’anime également un podcast pour une radio libre.

Julie Carrié, développeuse web chez Abribat, diplômée de la 3W Academy : 

Bonjour à tous, moi c’est Julie. J’ai 27 ans. À la base, j’étais en gestion en hôtellerie-restauration. L’arrivée sur le terrain a été un peu compliquée pour moi : il y avait beaucoup d’hommes extrêmement sexistes. C’était un peu la désillusion. J’étais perdue, je ne savais plus ce que je voulais faire. J’ai donc travaillé avec une psychologue du travail. On a réfléchi ensemble à ce que je pouvais faire. Je faisais déjà un peu de HTML/CSS et au fur et à mesure, on s’est dit “pourquoi ne pas en faire un métier?”. J’ai essayé d’apprendre par moi-même et puis je suis tombée sur la 3W Academy. J’ai fait les 3 mois de formation et suite à cela, j’ai intégré Lagardère Publicité News.


De nombreuses femmes arrivent dans le développement web dans le cadre d’une reconversion. À la 3W Academy, nous avons signé un manifeste pour la reconversion des femmes dans le numérique. Nous sommes engagés à promouvoir les métiers du numérique pour que de plus en plus de femmes rejoignent des formations comme la nôtre.


Quelles ont été vos premières expériences en tant que développeuse ? Pensez-vous qu’être une femme dans ce milieu est un atout ou plutôt un frein ?

Aurélie Wagner, développeuse web chez Mobibam, diplômée de la 3W Academy : 

Ma première expérience, c’était chez BETC. J’étais en alternance, j’étais front sur du JS, HTML, CSS et après du REACT. Le fait d’être une femme n’a joué sur absolument rien. Je me suis sentie intégrée comme n’importe qui. J’étais la première femme dans l’équipe des développeurs informatiques, certes, donc on m’a posé quelques questions pour savoir si ça me dérangeait d’être dans une équipe d’hommes. Ça ne m’a jamais posé aucun problème. Quand j’ai cherché un nouveau contrat après mon alternance, je n’ai pas eu de soucis non plus. Je suis arrivée ensuite chez Mobibam. Je suis très bien encadrée et je ne ressens aucune différence entre mes homologues hommes et moi-même. Pour ma part en tout cas, ça se passe très bien.

Camille Desoubrie, développeuse web chez Consult My App, diplômée de la 3W Academy : 

J’ai travaillé chez Abilways en alternance. J’étais la seule femme moi aussi. J’ai eu le droit à quelques réflexions sexistes, mais à part ça rien de particulier. Quand j’ai commencé à chercher du travail, j’ai envoyé 40 CV en tout et j’ai eu beaucoup de personnes qui m’ont contactée via LinkedIn. J’avais 2 / 3 entretiens par jour donc je ne pense vraiment pas que le femme d’être une femme soit un frein, au contraire. J’ai commencé à chercher du travail début décembre et j’ai trouvé début janvier.

Helvira Goma, développeuse web chez Oxalys, diplômée de la 3W Academy : 

Ma première expérience s’est faite via LinkedIn. Le CTO d’une start-up avait repéré mon profil et m’avait contactée pour me faire passer un entretien. Suite à cela, j’ai intégré une équipe 100% masculine, mais je n’ai pas eu de problème. Les seules réflexions que j’ai eu venaient de personnes qui n’étaient pas dans l’équipe des développeurs, alors on passe vite à autre chose. Je ne dirais pas qu’être une femme développeuse est un atout ou un frein. À partir du moment où on est motivé et qu’on est passionné, on oublie très vite qu’on est dans une équipe d’hommes. Chez Oxalis, c’est différent, pour la première fois j’ai des collègues femmes donc je ressens quand même une légère différence. Je dirais juste qu’il faut se lancer et qu'il ne faut pas penser à ça. Si on est là parce qu’on aime ce métier, qu’il y ait des hommes ou des femmes, ça ne change rien en définitif. 

Julie Carrié, développeuse web chez Abribat, diplômée de la 3W Academy : 

De mon côté, il n’y a pas eu de réelle difficulté à mon arrivée chez Lagardère. Je ne pense pas qu’être une femme dans le numérique soit un frein. On rencontre les mêmes difficultés qu’on peut rencontrer dans tous les métiers. Par exemple, à l’entretien d’embauche, on m’a tout de suite demandé si j’avais des enfants, mais ce n’est pas une problématique propre au numérique. Je pense qu’être une femme peut être un avantage. En ce moment c’est plutôt bon pour la communication des entreprises d’embaucher des femmes. De plus, il y a beaucoup de solidarité entre femmes et beaucoup d’associations poussent les femmes à s’orienter vers les métiers du développement

J’ai intégré Lagardère 2 mois après avoir fini mon cursus à la 3W Academy, je les ai rencontrés via un speed recruiting organisé par la 3W Academy. Je travaille en tant qu’Intégrateur Digital, autrement dit Développeur Front. J’étais dans une équipe qui était composée uniquement  d’hommes et ça s’est tout de suite très bien passé. J’ai fait un test technique pour rentrer et je me suis quand même demandée si je n’avais pas été prise uniquement parce que j’étais une femme. Alors je leur ai posé la question et on m’a assuré que j’avais été embauchée pour mes compétences. Dans un second temps, il y a une partie de Lagardère qui a été revendue et j’ai intégré une équipe mixte. J’ai intégré les locaux qui comportent la radio et les femmes y sont très majoritaires. D’ailleurs, notre présidente est une femme. Il y a souvent des opérations autour de la place des femmes en entreprise. Au niveau du travail, la cession de Lagardère a été une très belle opportunité pour moi, je me suis retrouvée seule sur la partie technique, ça m’a permis de progresser rapidement et de prendre des responsabilités.


Le saviez-vous ? C’est une femme qui a créé le premier programme informatique en 1843. Jusqu’à la 2nde Guerre Mondiale, la programmation était essentiellement exercée par des femmes.


Avez-vous rencontré des difficultés pour trouver un poste ?

Aurélie Wagner, développeuse web chez Mobibam, diplômée de la 3W Academy : 

Pas vraiment. J’ai commencé à regarder les offres à la fin de mon alternance. J’avais déjà quelques réponses, quelques pistes. C’est courant octobre que j’ai commencé à chercher activement. Je suis passé par Indeed, LinkedIn, Welcome to the Jungle et c’est d’ailleurs via Welcome to the Jungle que l’on m’a recrutée. J’envoyais une quinzaine de CV par jour et on me répondait régulièrement. Ça a été assez rapide car j’ai débuté le 1er décembre.

Avez-vous l’impression que les choses sont en train de changer et qu’il y a de plus en plus de femmes dans les métiers du numérique ? 

Helvira Goma, développeuse web chez Oxalys, diplômée de la 3W Academy : 

Par rapport aux demandes que je reçois sur LinkedIn, (demandes d’aides, de conseils, etc.) je rencontre de plus en plus de femmes. Je pense que ce qui manque pour que l’on arrive à une certaine parité, ce serait que les femmes oublient que c’est un métier d’homme. Ce n’est pas un métier d’homme, c’est un métier tout court.  

Julie Carrié, développeuse web chez Abribat, diplômée de la 3W Academy : 

Je pense que les choses sont en train de bouger. Je connais des jeunes au collège qui commencent à apprendre HTML et CSS et qui adorent ça. Il y a d’ailleurs une mannequin, Karlie Kloss, qui a changé de vie pour devenir développeuse web et qui a créé une association qui s’appelle “Kode with Klossy” pour promouvoir le développement web auprès des jeunes filles.

Comment faire pour que plus de femmes se tournent vers les métiers du web ?

Aurélie Wagner, développeuse web chez Mobibam, diplômée de la 3W Academy : 

Je pense qu’il faut miser sur la communication. On a toujours cette image de l’homme geek. Moi je ne suis pas geek du tout, je ne joue pas aux jeux vidéo et pourtant j’ai trouvé la voie de l’informatique. Je pense qu’il faut communiquer sur les réseaux sociaux, mais également dans les écoles. Je pense qu’il faut proposer plus d’intervenants pour dire à tous ces élèves que l’informatique, ça peut être génial. Il faut arrêter de se considérer comme un sexe, mais comme une personne avec un cerveau et des compétences. Je pense que les choses s’améliorent et qu’elles continueront de s’améliorer. Ce n’est pas une obligation qu'on soit à 50/50 dans ce métier, mais c’est vrai qu’il y a une part assez faible de femmes dans le métier. Pour moi, c’est vraiment une question d’éducation et de communication. 

Au lycée, j’avais une option sciences de l'ingénieur, alors on me parlait d’école d’ingénieur. Mais ingénieur, c’est quoi ? C’est trop large. Il aurait mieux fallu me parler plus précisément des voies possibles. Pour les jeunes qui sont dans ces filières, je pense qu’il faut leur parler plus concrètement des options et des métiers possibles. J’ai de nombreuses connaissances du lycée qui font aujourd’hui des choses qui n’ont rien à voir avec leur première orientation. Ça veut dire qu’à la source, il y a un petit souci à l’aide à l’orientation.

Camille Desoubrie, développeuse web chez Consult My App, diplômée de la 3W Academy : 

Je rejoins tout à fait Aurélie. Si je n’avais pas rencontré ce développeur web, jamais je ne me serais tournée vers l’informatique. Je n’avais jamais entendu parler des métiers de l’informatique donc je pense que c’est primordial de bien communiquer sur nos métiers.

Helvira Goma, développeuse web chez Oxalys, diplômée de la 3W Academy : 

J’ai fait un bac S pour avoir accès à de nombreux métiers, mais je n’avais jamais entendu parler du métier de développeur web. Et dans l’imaginaire collectif, quand on pense développeur, on pense à tout sauf à une femme. C’est pour ça que c’est important, en nous exprimant, de faire porter le message. Si on m’avait donné des cours d’informatique au collège, je suis sûre que j’aurais eu un attrait pour ça.

Avez-vous un bon équilibre vie professionnelle et vie personnelle depuis que vous êtes dans le développeUR web ?

Aurélie Wagner, développeuse web chez Mobibam, diplômée de la 3W Academy : 

Je dirais que c’est un métier très prenant. On y passe beaucoup de temps. Mais les entreprises ont tendance à favoriser le côté humain et comprennent de plus en plus que les salariés doivent se rendre disponibles pour leur famille. C’est le cas chez Mobibam en tout cas, je sais que je peux compter sur eux si j’ai un problème. Depuis que je suis chez Mobibam, je suis en télétravail à cause du contexte sanitaire. Donc ça libère du temps. Le télétravail, ça change tout.

Camille Desoubrie, développeuse web chez Consult My App, diplômée de la 3W Academy :

Le développement informatique, ça peut nous prendre du temps. Quand il y a un bug qu’on n’arrive pas à résoudre, on peut déborder sur la soirée. Donc c’est très important pour notre santé physique et mentale de se libérer du temps. Le télétravail ça aide, parce que ça me libère du temps. Le matin, soit je vais courir, soit je vais marcher. Je me lève, j’ai le temps de faire autre chose et après je vais travailler. C’est vraiment important de se dégager du temps pour déconnecter. 

Helvira Goma, développeuse web chez Oxalys, diplômée de la 3W Academy : 

Quand j’ai décidé de me reconvertir, je n’avais ni CPF, ni le droit au chômage. Donc j’ai passé mes nuits et mes journées à coder. 2 ans plus tard, ce n’est plus du tout le même rythme. Je n’y passe plus autant de temps qu’avant. Petit à petit, je me suis rendu compte que oui j’étais passionnée, mais que ce n’était pas pour autant qu’il fallait oublier de vivre. À l’heure du déjeuner, je vais marcher pour m’aérer l’esprit. J’essaie de faire un peu de yoga ou de lire aussi. Ça me permet de trouver un équilibre et de faire en sorte que la passion ne prenne pas tout le pas sur ma vie.

Julie Carrié, développeuse web chez Abribat, diplômée de la 3W Academy : 

Mon équilibre vie pro, vie perso est plutôt bien respecté. L’arrivée du télétravail m'a fait gagner plus de 3h dans la journée donc ça aide beaucoup. C'est plus simple que dans les métiers où on a besoin d’être en contact avec des clients. Il suffit d’une connexion internet, on peut coder de partout. Par contre, le site est accessible 24h sur 24, 7 jours sur 7, donc ça peut arriver qu’on nous appelle le soir en cas de problème. Mais il n’y a jamais d’abus. J’aime bien coder dans la vie perso aussi, donc j’essaie de faire la distinction entre le travail et le loisir.

Est-ce qu’on peut vraiment travailler de partout en tant que développeur web ?

Aurélie Wagner, développeuse web chez Mobibam, diplômée de la 3W Academy : 

Pour moi, la mobilité était un de mes critères. Je voulais pouvoir exercer de n’importe où. Actuellement je suis en région parisienne, mais si je souhaite déménager ailleurs en France ou même à l’étranger, c’est possible. Il suffit de s’arranger avec l’entreprise. D’ailleurs, je n’ai jamais rencontré mon manager en physique, car il habite dans le Sud et ça se passe très bien comme ça. 

Je pense qu’il faut atteindre un certain stade de maturité et d’expérience pour travailler dans un autre pays. C’est toujours agréable quand on est junior de se dire que si on a un problème, on peut facilement contacter quelqu’un. Je pense que ceux qui travaillent à l’étranger sont majoritairement en freelance et gèrent eux-mêmes leur business. 

Helvira Goma, développeuse web chez Oxalys, diplômée de la 3W Academy :  

Ce n’est pas un mythe, je connais des développeurs qui sont nomades, qui sont partis et qui travaillent en remote d’où ils veulent. C’est totalement possible, mais ça dépend des aspirations de chacun, c’est au cas pour cas.

Julie Carrié, développeuse web chez Abribat, diplômée de la 3W Academy : 

De façon un peu plus réaliste, les grosses sociétés aiment bien nous avoir dans les locaux tout de même. Moi, ce que je recherchais, c’était la stabilité. Je ne voulais pas me retrouver dans une petite start-up et être la seule développeuse. Je voulais être dans une grande entreprise avec des gens autour de moi pour continuer à me faire évoluer. Donc dans ces conditions-ci, je pense que ce n’est pas vraiment possible de décider de partir à Bali du jour au lendemain. Mais c’est vrai qu’il y a beaucoup de changements ces derniers temps. Dans mon entreprise, on est passé à 3 jours de télétravail, donc c’est sûr que ça permet de voir les choses différemment. Après chacun imagine sa vie comme il veut.

Quels conseils donneriez-vous à une femme qui souhaite se lancer dans les métiers du web ?

Aurélie Wagner, développeuse web chez Mobibam, diplômée de la 3W Academy : 

Premièrement, il faut penser en tant que humain et pas en tant que sexe. Ensuite, il ne faut pas hésiter à être encadré, à chercher des gens avec qui parler de son projet. Se montrer curieux et bien s’entourer sont pour moi des facteurs clés pour réussir.

Camille Desoubrie, développeuse web chez Consult My App, diplômée de la 3W Academy : 

Lancez-vous ! Je trouve que c’est comme un pouvoir magique de pouvoir voir le résultat de son travail sur son ordinateur ou sur son téléphone portable. Il y a très peu de gens qui savent faire ça. C’est aussi sympa de travailler avec des hommes. Au bureau, les femmes racontent beaucoup leur vie, les hommes, eux, font plus de blagues. Donc c’est aussi très agréable.

Helvira Goma, développeuse web chez Oxalys, diplômée de la 3W Academy :  

Misez sur vous ! Donnez tout et croyez en vous. Si vous ne le faites pas, personne ne le fera à votre place. Oubliez les conceptions que vous avez dans votre tête sur le développeur, un développeur c’est juste un magicien qui crée de magnifiques œuvres d’art. 

Julie Carrié, développeuse web chez Abribat, diplômée de la 3W Academy : 

Mon conseil c’est de pratiquer, pratiquer, pratiquer. Ça vous permettra de vous prouver à vous-même que vous en êtes capable. 

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